Depuis 1993, les livraisons effectuées entre l’Italie et Saint-Marin sont assorties d’un ensemble d’obligations douanières. Celles-ci comprennent la présentation de documents aux autorités fiscales des deux pays.
Construction d’une connectivité SDI vers Saint-Marin
L’Italie et le pays enclavé de Saint-Marin abandonneront les flux douaniers sur papier.
Les autorités fiscales italiennes et sammarinaises ont décidé de mettre en œuvre un modèle à “quatre coins”, selon lequel la plate-forme de dédouanement italienne SDI deviendra le point d’accès pour les contribuables italiens, tandis qu’un HUB-SM nouvellement créé sera l’homologue de SDI pour les contribuables sammarinais.
Les factures électroniques transfrontalières entre les pays seront échangées entre SDI et HUB-SM. Le système d’échange international entrera en vigueur le 1er juillet 2022, et une période de transition sera mise en place entre le 1er octobre 2021 et le 30 juin 2022.
FatturaPA : Le format de choix
Les spécifications techniques du HUB-SM sont désormais disponibles pour les importations de l’Italie vers Saint-Marin, et les exportations de Saint-Marin vers l’Italie. Les pays ont également décidé de choisir FatturaPA comme format de facture électronique, bien que les exigences en matière de contenu pour les factures d’exportation de Saint-Marin diffèrent légèrement des factures électroniques italiennes FatturaPA.
Les systèmes SDI et HUB-SM traiteront les factures électroniques à destination et en provenance des contribuables qui leur sont connectés, ou qui relèvent des juridictions de chaque pays.
En d’autres termes, les contribuables italiens enverront et recevront des factures transfrontalières à destination ou en provenance de Saint-Marin via la plateforme SDI, tandis que les contribuables sammarinais effectueront les mêmes activités via HUB-SM.
Les deux plateformes délivreront les factures aux contribuables correspondants via les codes de destination attribués par les autorités fiscales respectives. Cela signifie que HUB-SM attribuera également des codes de destination pour les entreprises sammariennes.
Documents d’intégration pour les entreprises samariennes
Inspiré par la méthodologie italienne de contrôle fiscal des transactions transfrontalières, Saint-Marin demandera aux acheteurs sammarinais de remplir un document d’intégration supplémentaire (similaire à une facture “autofacturée” créée pour des raisons de preuve fiscale) à la réception de la FatturaPA. Ce document sera rempli dans un nouveau format XML-RSM créé par l’enclave et envoyé à HUB-SM.
Après le déploiement plus important de l’IDS pour les transactions B2B en 2019, la plateforme s’est révélée capable de s’adapter à de nouveaux flux de travail et fonctionnalités.
Le SDI a déjà fait ses débuts sur la scène internationale en acceptant les factures électroniques conformes à la norme européenne, qui sont mises en correspondance avec une FatturaPA avant d’être livrées aux acheteurs italiens. Cette intégration entre SDI et HUB-SM pourrait également révéler les premières étapes de l’interopérabilité entre les plateformes des deux autorités fiscales pour le commerce transfrontalier.
Passez à l’action
Contactez nos experts qui vous aideront à comprendre comment la SDI et le HUB-SM fonctionneront ensemble.
À partir de 2023, les règles françaises en matière de TVA exigeront des entreprises qu’elles émettent des factures par voie électronique pour les transactions nationales avec des assujettis et qu’elles obtiennent une “autorisation” sur la plupart des factures avant leur émission. Les autres transactions, telles que les transactions transfrontalières et B2C, seront déclarées à l’administration fiscale de manière “normale”.
Il s’agira d’une entreprise majeure pour les entreprises concernées et, bien que les changements soient prévus dans plus d’un an, la planification doit commencer dès maintenant. Mais que signifie la planification dans le contexte du déploiement du contrôle continu des transactions (CCC) ? Qu’ont appris les entreprises à l’aube d’une telle transformation lorsqu’elles ont été confrontées au même défi dans des pays comme l’Italie, l’Inde, le Mexique et l’Espagne ? Et comment les entreprises peuvent-elles tirer parti de ces meilleures pratiques pour leurs futurs déploiements de CTC ?
Nous partageons les points que les entreprises doivent prendre en compte lors de la planification de tout déploiement de la CTC, qui peuvent être utilisés comme liste de contrôle pour le mandat France 2023 afin de vous aider à vous préparer.
Comprendre les nouveaux changements, et être conscient de ce qui nous attend
Votre organisation est-elle au courant des changements importants proposés par le gouvernement et les équipes fonctionnelles concernées les comprennent-elles ?
Vos équipes comprennent-elles ce qui change spécifiquement et disposent-elles d’une source d’information fiable pour les guider ?
Dans une situation aussi dynamique qu’un déploiement de CTC, vos équipes ont-elles les moyens de suivre les nouveaux développements et d’analyser les changements à venir ?
Existe-t-il un processus en place dans votre organisation pour mettre en œuvre les nouveaux changements une fois qu’ils ont été introduits dans la loi ?
Comprendre comment votre activité et vos opérations sont affectées
Quelles sont les transactions de votre entreprise qui sont concernées ? Quand doivent-elles être mises en conformité ?
Comment vos factures intersociétés sont-elles traitées aujourd’hui ? Il n’est pas rare que les entreprises négligent les exigences de conformité pour leurs flux de factures interentreprises, mais dans un système d’apurement, ces factures sont presque toujours dans le champ d’application.
Comment les factures seront-elles envoyées à l’administration fiscale française dans le cadre du nouveau système ? Pouvez-vous gérer cela en interne ou faut-il faire appel à un tiers ?
Quelles sont les informations à envoyer en plus de celles de la facture ?
Lorsqu’une facture n’est pas requise aujourd’hui, par exemple pour les ventes B2C, quelles informations doivent être envoyées ?
Comment ces factures doivent-elles être archivées ? Existe-t-il des exigences juridiques ou techniques spécifiques pour cet archivage ?
Concevoir ou évaluer des solutions potentielles
La réforme de la CTC est-elle mieux résolue par une solution développée en interne ?
Si oui, parlez-en au service informatique dès que possible afin qu’il puisse commencer à planifier et à allouer le temps et le budget nécessaires au projet.
Si non, quels sont les prestataires de services qui pourraient vous aider ?
Si vous faites appel à des fournisseurs externes, comment les données passeront-elles de vos systèmes sources à ces derniers, puis à l’administration fiscale ?
Parmi vos systèmes sources, lesquels contiennent les données requises ? S’agit-il d’un seul ou de plusieurs ?
Le fournisseur externe dispose-t-il d’un extracteur “prêt à l’emploi” pour votre système ERP/système source ? Ou, si votre organisation s’appuie sur une stratégie API first, quels systèmes sources utiliserez-vous pour envoyer les données à votre fournisseur ou à l’administration fiscale ?
Exécuter la solution
De combien de temps votre service informatique a-t-il besoin pour un tel projet ? Des ressources du service informatique seront nécessaires, qu’il s’agisse d’un projet externe ou interne.
Combien coûteront le développement et la mise en œuvre ? Il faudra prévoir un budget, quelle que soit la manière dont vous envisagez de mettre en œuvre la solution de votre choix, interne ou externe.
Quand le coût doit-il être soumis à l’approbation du budget ?
Quand devez-vous donner le coup d’envoi du projet ? Une fois que la planification est terminée et que le temps nécessaire est connu (y compris les tests et la formation), vous pouvez travailler à rebours pour obtenir une date de démarrage. Cette date doit être confirmée avec le service informatique dès que possible.
Une fois que vous aurez répondu aux questions ci-dessus, vous serez en bonne position pour planifier la feuille de route afin de garantir des processus conformes à temps pour l’entrée en vigueur, ainsi que pour estimer le coût et obtenir le financement nécessaire au projet.
La Norvège a annoncé son intention d’introduire une nouvelle déclaration de TVA numérique à la fin de 2020, avec une date de lancement prévue pour le 1er janvier 2022. Depuis lors, les entreprises se demandent ce que ce changement signifierait pour elles et comment les équipes informatiques devraient préparer les systèmes pour répondre à cette nouvelle exigence. La Norvège a depuis fourni de nombreuses orientations afin que les entreprises puissent commencer à se préparer le plus tôt possible.
Avec cette nouvelle déclaration de TVA, l’administration fiscale norvégienne (Skatteetaten) cherche à simplifier la déclaration, à améliorer l’administration et à renforcer la conformité.
Cette nouvelle déclaration de TVA prévoit 11 cases supplémentaires, faisant passer le nombre de cases de 19 à 30, basées sur les codes FEC existants, afin de permettre une déclaration plus détaillée et plus souple. Il est important de noter que l’obligation de soumettre un fichier FEC ne changera pas avec l’introduction de cette nouvelle déclaration de TVA.
Ce changement concerne uniquement la déclaration de TVA – les codes FEC étant réutilisés et réaffectés pour fournir des informations supplémentaires. Les entreprises doivent toujours se conformer au mandat FEC norvégien, le cas échéant, et doivent également soumettre cette nouvelle déclaration de TVA numérique.
Spécifications techniques de la déclaration de TVA numérique de la Norvège
Skatteetaten a créé de nombreuses pages web contenant des informations détaillées que les entreprises pourront consulter au cours des prochains mois, notamment les suivantes :
Guide de mise en œuvre – ce guide a été créé pour aider les développeurs et les entreprises à évaluer les exigences techniques nécessaires à la mise en œuvre des changements à venir.
Règles de validation – cette liste sera continuellement mise à jour avec de nouvelles règles de validation selon les besoins.
XSD pour la déclaration de TVA – contient les spécifications techniques (XSD) de la nouvelle déclaration de TVA ainsi que des fichiers d’exemple et des descriptions des champs contenus dans la déclaration.
API Submission – contient des informations sur la soumission et la validation de la déclaration de TVA, y compris les messages d’erreur.
Questions et réponses – Page de FAQ pour les entreprises afin de comprendre les réponses aux questions courantes qui peuvent se poser, notamment l’enregistrement, la méthode de soumission et les fichiers supplémentaires.
Méthode de soumission de la déclaration de TVA numérique de la Norvège
La Norvège encourage la soumission directe de la déclaration de TVA par ERP lorsque cela est possible. Toutefois, les autorités fiscales ont annoncé que le téléchargement manuel via le portail Altinn sera toujours possible. La connexion et l’authentification de l’utilisateur final ou du système s’effectuent via ID-porten.
En outre, la Norvège a fourni une méthode de validation pour le fichier de déclaration de TVA, qui doit être testé avant d’être soumis afin d’augmenter la probabilité que le fichier soit accepté par les autorités fiscales. Le validateur validera le contenu d’une déclaration de TVA et renverra une réponse indiquant les éventuelles erreurs, déviations ou avertissements. Pour ce faire, il vérifie le format du message et la composition des éléments de la déclaration de TVA.
Et ensuite ?
Les entreprises devraient commencer à se préparer à la mise en œuvre de cette nouvelle déclaration de TVA, car il y aura probablement des difficultés en cours de route.
Outre la nouvelle déclaration de TVA, la Norvège a également annoncé son intention de mettre en place une déclaration de ventes et d’achats, qui est actuellement à un stade de proposition précoce en cours d’examen par le ministère des finances. La prochaine phase est la consultation publique obligatoire, qui permettra de fixer une date de lancement souhaitée. Skatteetaten note que le temps de mise en œuvre sera pris en compte lors de la détermination de la date d’introduction du rapport.
Passez à l’action
Prenez contact avec pour savoir comment nous pouvons aider votre entreprise à se préparer aux exigences de la Norvège en matière de déclaration numérique de TVA pour 2022. Suivez-nous sur LinkedIn et Twitter pour vous tenir au courant des dernières nouvelles et mises à jour réglementaires.
Exigences en matière de TVA en Pologne
Cadre FEC et CTC en Pologne
Dans le but de moderniser ses systèmes fiscaux et de combler le manque à gagner en matière de TVA, l’autorité fiscale polonaise, la Krajowa Administracja Skarbowa (KAS), poursuit la mise en œuvre de son projet de réforme de la TVA en apportant des modifications au cadre FEC et en introduisant un contrôle continu des transactions (CTC).
Toutes les informations dont vous avez besoin
Évolution du cadre FEC
En 2016, la Pologne a introduit la norme FEC (Le fichier des écritures comptables), connue sous le nom de Jednolity Plik Kontrolny (JPK). Elle comprenait sept fichiers JPK réglementés, dont deux concernaient la TVA : JPK_VAT et JPK_FA. L’obligation de déclaration mensuelle de JPK_VAT a été étendue à tous les contribuables le 1er janvier 2018. Ce fichier a été combiné avec la déclaration de TVA au cours de l’année 2020 et le fichier groupé JPK_V7M/K doit être communiqué à la même fréquence que la déclaration de TVA (mensuelle ou trimestrielle). Les six autres fichiers JPK sont uniquement communiqués sur demande de l’administration fiscale en cas de contrôle.
Le cadre FEC en bref
Il existe sept fichiers JPK polonais auxquels les contribuables doivent faire attention. La plupart sont exigés sur demande, mais le JPK_V7M/K doit être communiqué périodiquement (mensuellement ou trimestriellement).
Déclaration JPK_V7M/K pour le registre des achats et des ventes soumis à la TVA
JPK_FA pour la TVA et les factures TVA
JPK_WB pour les relevés bancaires
JPK_PKPIR pour les recettes fiscales et la comptabilité des dépenses
JPK_EWP pour le compte de recettes
JPK_KR pour les livres comptables
JPK_MAG pour les entrepôts
Les réformes CTC
Destinée à lutter contre la fraude et à améliorer les capacités de recouvrement des impôts, la première législation polonaise sur le contrôle continu des transactions (CTC), le Krajowy System e-Faktur (KSeF), a été publiée en Pologne au début de l’année 2021. Après consultation des représentants de la profession, la proposition de réforme CTC a été adoptée le 18 novembre 2021. Le processus de mise en œuvre est en cours, la phase volontaire ayant débuté en janvier 2022.
Le CTC en bref
Les participants qui souhaitent prendre de l’avance sur le mandat peuvent désormais utiliser le système polonais de facturation électronique au format XML structuré (FA-VAT) afin de transmettre les factures des fournisseurs au KSeF (Krajowy System e-Faktur) par voie électronique.
Les autres considérations pour les entreprises comprennent :
Pendant la phase volontaire, l’acceptation obligatoire des factures électroniques par l’acheteur (sinon, le fournisseur devra toujours émettre des factures sous la forme/le format convenu, tel que PDF, papier ou via EDI)
La période de remboursement réduite de 60 à 40 jours
La possibilité pour les entreprises d’émettre des factures via le portail KSeF pendant la phase volontaire
L’externalisation sera autorisée sous réserve de règles supplémentaires (par exemple, comptables accédant au portail pour le compte de leurs clients)
Toutes les factures seront archivées et stockées électroniquement pendant dix ans
Une signature ou un sceau électronique qualifié (QES) sera requis pour authentifier l’accès au portail
Dates de déploiement des mandats pour le FEC et le CTC
Pologne – FEC
1er juillet 2016 : mise en place du protocole FEC en Pologne
1er janvier 2018 : mandat imposant à tous les contribuables de fournir un fichier JPK_VAT
1er octobre 2020 : JPK_V7M/K remplace JPK_VAT et la déclaration de TVA
1er juillet 2021 : adoption des modifications de la norme JPK_V7M/K obligatoire
1er janvier 2022 : modification du fichier JPK_V7M/K, notamment pour l’aligner davantage sur le paquet TVA sur le commerce électronique de l’UE
CTC en Pologne
29 octobre 2021 : adoption d’une législation pour un système de facturation électronique avec contrôle continu des transactions (CTC) ; publication de spécifications préliminaires et mise à disposition d’un système de test
1er janvier 2022 : début de la phase volontaire pour le système CTC. Le recours au système de facturation électronique dans les transactions B2B n’est pas obligatoire, bien qu’il existe plusieurs avantages si les entreprises choisissent de le faire, notamment des remboursements d’impôts plus rapides et une exemption de communiquer le rapport des factures (JPK-FA)
30 mars 2022 : la Pologne se voit accorder par la Commission européenne une décision dérogatoire aux articles 218 et 232 de la directive 2006/112/CE. La décision s’appliquera du 1er avril 2023 au 31 mars 2026, après réception de la dernière approbation du Conseil de l’UE
7 avril 2022 : mise en service de la version test de l’application KSeF pour les contribuables
17 mai 2022 : mise en service de la version de production de l’application KSeF pour les contribuables
10 juin 2022 : publication de la décision d’exécution du Conseil de l’Union européenne autorisant la République de Pologne à appliquer une mesure spéciale dérogeant aux articles 218 et 232 de la directive 2006/112/CE. La décision s’appliquera du 1er janvier 2024 au 31 décembre 2026, après publication au Journal officiel de l’Union européenne
1er janvier 2024 : date prévue pour l’entrée en vigueur du système CTC
Gestion des obligations CTC
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À l’heure où la Pologne continue de prendre des mesures pour réduire le manque à gagner en matière de TVA et moderniser son système, il est de plus en plus difficile de s’y retrouver face à l’évolution des réglementations.
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Les exigences relatives aux déclarations FEC de la Norvège évoluent à mesure que la fiscalité se numérise
Réforme Conçu pour réduire la charge de conformité et les coûts administratifs associés aux audits, tout en offrant aux autorités fiscales une meilleure visibilité sur les données fiscales et financières des entreprises, le FEC a continué à gagner en popularité dans un nombre croissant de pays européens.
L’administration fiscale norvégienne a initialement introduit la déclaration FEC en 2017 sur une base volontaire, avant de la rendre obligatoire en janvier 2020.
À l’heure actuelle, les déclarations FEC ne concernent que les soumissions en réponse à un contrôle fiscal. Il est cependant prévu qu’elles soient bientôt étendues à l’impôt sur les sociétés.
Entrée en vigueur le 1er janvier 2022, la soumission numérique de la déclaration de TVA a également été améliorée pour collecter d’autres données déjà requises chaque fois qu’une déclaration FEC est nécessaire. Cependant, étant donné que la Norvège n’exige pas encore de fournir régulièrement le FEC, remplir ces nouvelles cases récapitulatives représente un nouveau défi pour les entreprises qui ne connaissent pas le système.
Toutes les informations dont vous avez besoin
En résumé
Les exigences FEC de la Norvège s’appliquent aux entreprises soumises aux obligations comptables ayant recours à un système de comptabilité électronique, notamment les entités non résidentes enregistrées.
Les entreprises dont le chiffre d’affaires ne dépasse pas 5 millions de couronnes norvégiennes et non soumises aux obligations comptables ne sont pas concernées, sauf si elles disposent d’informations comptables sous forme électronique.
Les entreprises émettant moins de 600 bons par an et qui tiennent leurs comptes à l’aide de feuilles de calcul ou d’un logiciel de traitement de texte ne sont pas concernées.
Le FEC en Norvège est à fournir sur demande ; il n’existe actuellement aucune obligation de déclaration périodique.
FEC est un format XML standardisé contenant des informations comptables exportées.
Les fichiers FEC norvégiens seront principalement envoyés par l’intermédiaire du portail Internet Altinn.
Il est possible, et même recommandé par l’administration fiscale, de tester le système.
Dates de déploiement du mandat
1er octobre 2016 : La première version du format FEC Financial est publiée sur le site Web de l’administration fiscale norvégienne.
9 juin 2017 : L’organe administratif en charge des normes FEC norvégiennes se rassemble pour la première fois afin d’établir un cadre adapté aussi bien au secteur public qu’au secteur privé. Les réunions ont lieu au moins une fois par an.
1er janvier 2017 : L’adoption volontaire du format FEC commence.
1er janvier 2020 : la Norvège rend les déclarations FEC obligatoires sur demande.
1er janvier 2022 : la Norvège met à jour son système de déclaration de TVA pour un processus plus détaillé et plus flexible : les cases numérotées sont supprimées et les utilisateurs doivent maintenant associer leurs transactions aux codes fiscaux norvégiens actuellement utilisés dans le mandat FEC. La fréquence de déclaration de la TVA reste la même, mais les utilisateurs peuvent désormais soumettre les déclarations directement à partir de leur système ERP, ce qui facilite le processus. Lorsque ce n’est pas possible, les utilisateurs peuvent toujours télécharger des fichiers XML ou renseigner manuellement les données via un portail.
Infographie
Exigences FEC de la Norvège
Tout comprendre sur le FEC en Norvège, notamment les dates limites de conformité, les délais et les exigences de déclaration, ainsi que les façons dont Sovos peut vous aider.
Il est difficile d’extraire des données de son ERP, de les mapper au format FEC approprié et de s’assurer qu’elles répondent aux exigences de l’administration fiscale sans qu’un examen plus approfondi ne s’impose. Le logiciel de Sovos s’occupe de tout : il extrait les données, effectue une analyse complète et génère un fichier FEC prêt à l’envoi.
Nos experts contrôlent, interprètent et codifient en continu les changements de réglementation dans notre logiciel afin de vous aider à réduire la charge administrative de vos équipes informatiques et fiscales.
Contactez notre équipe de spécialistes pour savoir comment la solution Sovos peut vous aider à vous adapter aux réformes FEC et autres changements apportés à la conformité à la TVA.
Hongrie: Pionnière du contrôle continu de transactions en UE
Déclarations en temps réel – Hongrie
En 2018, la Hongrie a établi un nouveau cadre juridique imposant aux contribuables l’utilisation d’un modèle de déclaration en temps réel des données de facturation à l’Autorité nationale des impôts et des douanes (NAV). Il s’applique aux transactions nationales dépassant un certain montant de TVA.
Au vu du succès de cette mesure, la Hongrie a étendu le mandat à de nombreuses autres transactions, abolissant en outre les seuils auparavant fixés. Désormais, toutes les transactions nationales entre contribuables doivent être déclarées à la NAV, quel que soit le montant de la TVA.
Par ailleurs, la Hongrie a également publié un projet pilote de réglementation FEC et des documents de consultation publique visant à recueillir les commentaires des personnes concernées. La nouvelle norme FEC devrait entrer en vigueur d’ici fin 2021 à 2022.
Recevoir des informations complémentaires
Synopsis sur le mandat
Les données de toutes les factures émises dans le cadre du mandat doivent être immédiatement transmises.
Une fois la facturation électronique émise, la transmission des données s’effectue automatiquement par le biais d’une interface de machine à machine, sans intervention humaine.
La transmission doit inclure les données d’identification ainsi que le contenu obligatoire, selon les exigences de la loi hongroise en matière de TVA.
Les déclarations de TVA sont envoyées tous les mois ou tous les trimestres avant le 20 du mois suivant la fin de la période d’imposition.
Les déclarations de TVA s’accompagnent d’annexes nécessitant des informations supplémentaires sur les transactions, notamment les livraisons par nouveaux modes de fret et les métaux soumis à l’autoliquidation nationale.
En plus de la déclaration de TVA, les contribuables doivent soumettre un rapport récapitulatif de tous les achats nationaux pour lesquels ils demandent une déduction de la taxe d’amont.
Dates de déploiement du mandat
1 Juillet 2018: le mandat s’applique à toutes les personnes assujetties à la TVA, qui doivent envoyer leurs données de facturation en temps réel à l’Autorité nationale des impôts et des douanes de Hongrie, pour toutes les transactions nationales d’un montant de TVA supérieur à 100,000 HUF.
1 Juillet 2020: le seuil de TVA est aboli et toutes les transactions nationales entre contribuables en Hongrie doivent être déclarées, quel que soit le montant de la TVA.
1 Janvier 2021: les obligations de déclaration concernent désormais l’émission de factures B2C ainsi que les livraisons et exportations intracommunautaires entre entreprises.
1 Janvier- 31 Mars 2021: le ministère des Finances a instauré une période de grâce de 3•mois sans sanction permettant aux entreprises de s’adapter aux nouvelles obligations de déclaration en passant notamment de la version actuelle (v. 2.0 XSD) à la nouvelle version de la déclaration (v. 3.0 XSD).
1 Avril 2021: l’utilisation de la nouvelle version (v. 3.0•XSD) devient obligatoire.
Pénalités
Toute absence de déclaration en temps réel des données de facturation peut entraîner une amende administrative pouvant s’élever à 500,000 HUF par facture non déclarée.
Des sanctions supplémentaires s’appliquent également en cas de non-conformité aux exigences en matière de logiciel de facturation.
Sovos aide les entreprises à respecter le système de déclaration en temps réel en Hongrie
À mesure que la Hongrie se tourne vers la validation des factures électroniques CTC, Sovos aide les entreprises à rester informées et conformes aux dernières exigences et spécifications techniques, afin de communiquer de manière efficace avec la NAV et de s’acquitter de leurs obligations en matière de déclaration de TVA.
Inde: Contrôle continu des transactions et facturation électronique
Facturation électronique en Inde
Conformément aux dispositions de la taxe sur les produits et services (GST), le système de facturation électronique indien est soumis au contrôle continu des transactions (CTC). Avant de pouvoir émettre une facture, vous devez impérativement déclarer vos données de facturation sur le portail gouvernemental.
Pour être valide d’un point de vue juridique, la facture doit être signée numériquement sur le Portail d’enregistrement des factures (IRP) et associée à un numéro d’enregistrement de facture (IRN). Si l’IRN n’est pas inclus dans la facture, celle-ci n’a aucune valeur légale.
Ces dispositions s’appliquent aux transactions nationales et transfrontalières. Le processus IRP concerne les transactions B2B, B2G et les exportations. Les contribuables soumis à cette obligation doivent envoyer leurs factures (et tout autre document associé à un IRN, comme les permis E-WayBill) via le nouveau système pour leurs transactions B2B, B2G et exportations.
Le gouvernement indien a apporté de nombreuses modifications à la réglementation initiale. D’autres changements seront inévitablement appliqués.
Toutes les informations dont vous avez besoin
Synopsis sur le mandat
Les données de facturation doivent être déclarées sur le Portail d’enregistrement des factures (IRP) au format JSON.
Pour être valides, les factures doivent être associées à un numéro d’enregistrement de facture (IRN) obtenu via l’IRP.
Le fournisseur et l’acheteur peuvent se transmettre les factures au format JSON, PDF ou papier.
Conformément au mandat gouvernemental, les factures doivent obligatoirement être archivées pendant huit ans.
Dates de déploiement du mandat
1er janvier 2020 : période facultative pour les entreprises dont le chiffre d’affaires s’élève à 500 crores (100 crores = 1 milliard de roupies) ou plus.
1er janvier 2020 : période facultative pour les entreprises dont le chiffre d’affaires s’élève à 100 crores ou plus.
1er octobre 2020 : début de la période obligatoire pour les entreprises dont le chiffre d’affaires s’élève à 500 crores ou plus (six mois après la date initialement prévue). Les 30 premiers jours étaient soumis à un délai de grâce, pendant lequel les factures pouvaient être déclarées après avoir été émises.
1er janvier 2021 : début de la période obligatoire pour les entreprises dont le chiffre d’affaires s’élève à 100 crores ou plus.
1er avril 2021 : abaissement du seuil de facturation électronique obligatoire. Désormais, les contribuables dont le chiffre d’affaires est compris entre 50 et 100 crores sont aussi concernés.
1er octobre 2022: Seuil abaissé aux contribuables avec un seuil annuel de 10 crores de roupies.
1er août 2023 : Seuil abaissé aux contribuables dont le seuil annuel est de 5 Crore Rs.
Pénalités
Si une facture n’est pas transmise via l’IRP, elle sera considérée comme non émise et entraînera une amende d’au moins 10 000 roupies pour chaque cas de non-conformité. Les sanctions prévues dans diverses sections de la législation relative à la taxe sur les produits et services seront prélevées avec des intérêts.
Sovos aide les entreprises à respecter le système de facturation électronique en Inde
En février 2021, les spécifications initialement publiées par les autorités fiscales indiennes en décembre 2019 avaient déjà été révisées à trois reprises. D’autres changements seront inévitablement appliqués.
Nos experts contrôlent, interprètent et codifient en continu ces changements dans notre logiciel, afin de vous aider à réduire la charge administrative de vos équipes informatiques et fiscales.
Découvrez comment Sovos peut vous aider à vous conformer aux réglementations indiennes en matière de facturation électronique selon le modèle Clearance.
En 2020, la Grèce a instauré un programme de contrôle continu des opérations (CTC), appelé myDATA, un système d’audit électronique. myDATA impose aux contribuables de transmettre leurs données transactionnelles et comptables à l’administration fiscale, en temps réel ou à intervalles réguliers, ce qui alimente un ensemble de grands livres en ligne tenus sur le portail gouvernemental.
L’objectif de myData est d’instaurer les registres en ligne comme seule source de vérité pour les résultats fiscaux et financiers du contribuable, et de pré-remplir les déclarations de TVA et les états financiers du contribuable avec leurs informations respectives.
Le programme myDATA concerne les contribuables grecs tenus par la loi de tenir une comptabilité conforme aux normes comptables du pays. Il couvre à la fois les transactions B2B, B2G et B2C.
MyDATA génère des livres comptables électroniques : ces livres contiennent un résumé des revenus et dépenses, les classifications de ces transactions ainsi que les ajustements comptables. L’objectif est de fournir un aperçu complet des déclarations comptables et fiscales de chaque contribuable.
Lorsque les entreprises soumettent leur déclaration fiscale, les données transmises sont rapprochées des données renseignées dans les registres électroniques.
Tout écart entre les registres électroniques et les déclarations fiscales déclenche un processus de rapprochement en deux étapes au cours duquel le contribuable doit corriger la différence, au risque d’entraîner des audits et des sanctions.
Quelles informations doivent être déclarées sur le portail myDATA ?
Le portail myDATA exige la déclaration des éléments suivants :
**Données transactionnelles**: par exemple Factures B2B, B2G, B2C, notes de crédit, notes de débit
Données comptables : données qui constituent les résultats comptables et fiscaux des entreprises sur le portail myDATA (ex. salaires, dépréciations, amortissements)
Les fournisseurs et les acheteurs doivent classer les transactions en sous-catégories, telles que les recettes provenant de la vente de biens, les dépenses liées à l’acquisition de services, les recettes provenant des prestations de services, les dépenses d’amortissement, les dépenses liées aux acquisitions intracommunautaires de biens, etc.
Quelles sont les soumissions de déclaration myDATA ?
Les données requises doivent être déclarées à des périodes différentes en fonction du type de données et de leur méthode de transmission.
En principe, les fréquences de déclaration sur myDATA sont les suivantes :
Revenus : déclarés en temps réel
Dépenses : déclarées périodiquement selon les dates limites de transmission des déclarations de TVA (mensuelles ou trimestrielles)
Autres écritures comptables (recettes ou dépenses) : déclarées tous les deux mois (paie) ou tous les ans (par ex. ajustements comptables, dépréciations).
Les méthodes de transmission des données peuvent inclure l’ERP, le téléchargement manuel et l’application de facturation électronique centralisée (timologio).
4Quels types de documents doivent être déclarés par les émetteurs et les bénéficiaires pour myDATA ?
Les émetteurs et les bénéficiaires doivent déclarer différents documents à myDATA.
Émetteurs :
Les déclarants doivent indiquer les recettes enregistrées dans les différents types de documents transactionnels et comptables qu’ils émettent. Ces documents à l’appui des obligations déclaratives comprennent les factures B2B/B2G/B2C, les documents de transport, les salaires, les dépréciations, les contrats, etc.
Bénéficiaires :
Les bénéficiaires doivent déclarer les dépenses issues des différents types de documents transactionnels et comptables qu’ils reçoivent. Ces documents à l’appui des obligations déclaratives des bénéficiaires comprennent les factures B2C nationales, les factures B2B/B2C de fournisseurs étrangers, les factures de services publics, les avoirs, les salaires, les amortissements, les contrats, etc.
En outre, si les déclarants nationaux n’ont pas communiqué les données requises à la plateforme myDATA, les bénéficiaires doivent les déclarer en tant qu’omissions ou divergences.
Toutes les entreprises :
Toutes les entreprises (déclarants et bénéficiaires) doivent déclarer leurs transactions en fonction de classifications, par exemple, recettes liées à la vente de biens, dépenses liées aux achats de services, dépenses d’amortissement, dépenses liées aux acquisitions intracommunautaires de biens, etc.
Dates de déploiement de myDATA en Grèce
20 juillet 2020 : début de la facturation électronique et de la déclaration par l’intermédiaire de fournisseurs de services de facturation électronique accrédités
1er octobre 2020 : entrée en vigueur de la déclaration volontaire des recettes et des dépenses, ainsi que des classifications pour toutes les méthodes de déclaration
1er octobre 2021 : début de la phase 1 des exigences obligatoires de myDATA, pour les revenus et certains contribuables.
1er novembre 2021 : extension du champ d’application de myDATA aux revenus et à tous les contribuables.
1er janvier 2024 : la loi myDATA s’applique à toutes les données concernées générées en 2024, à quelques exceptions près.
Pour connaître les derniers ajustements de délais, suivez notre blog myDATA en Grèce pour connaître toutes les actualités.
Pénalités
Toute incohérence entre les données des registres électroniques et celles des déclarations fiscales peut entraîner des sanctions et des audits.
Les sanctions ne concernent que les manquements à l’obligation de déclaration conforme des revenus provenant de factures et d’autres écritures comptables (et non des dépenses), ainsi que du document de transport électronique récemment mis en place. Le calendrier de mise en œuvre et d’autres détails concernant les sanctions adoptées n’ont pas encore été publiés.
Sovos facilite la mise en conformité avec la loi grecque myDATA
Les solutions Sovos vous aident à respecter toutes les réglementations en matière de TVA en Grèce et de CTC dans le reste du monde. Forts d’une expertise locale et d’une portée mondiale, nous vous offrons une expérience client fluide où que vous soyez.
La déclaration et la transmission des données à la plateforme myDATA sont actuellement obligatoires pour les contribuables. Toutefois, la mise en œuvre progressive de myDATA est en cours et les délais et exigences continuent d’être actualisés.
Le programme myDATA concerne les contribuables grecs tenus par la loi de tenir une comptabilité conforme aux normes comptables du pays. Il couvre à la fois les transactions B2B, B2G et B2C.
Les documents requis sont transmis à myDATA via les méthodes suivantes : l’ERP, la facturation électronique via un prestataire de services accrédité, le téléchargement manuel, l’application de facturation électronique centralisée (« timologio ») et les dispositifs fiscaux (FIM).
Corée du Sud: Système établi de dématérialisation fiscale
La facturation électronique en Corée du Sud
En 2010, la Corée du Sud a lancé son propre système de dématérialisation des factures et des procédures fiscales, baptisé e-Tax. Depuis 2011, le système e-Tax rend obligatoire la facturation électronique de même que la déclaration, peu après leur émission, des factures assujetties à la TVA. En d’autres termes, la Corée du Sud est tenue d’exercer un contrôle continu des opérations (CTC). Même si la structure et les exigences initiales du mandat sont demeurées relativement stables, son champ d’application a été élargi afin d’inclure davantage de contribuables.
La facturation électronique est obligatoire depuis 2011 pour toutes les entreprises et personnes physiques imposables dont le chiffre d’affaires dépasse un certain seuil.
Toutes les informations dont vous avez besoin
Synopsis sur le mandat
Facturation électronique obligatoire avec un modèle de déclaration de type CTC : une facture e-Tax émise doit être transmise au National Tax Service (NTS), le service des impôts sud-coréen, au plus tard un jour après l’émission de la facture
Les données de facturation doivent être transmises au NTS au format XML
Les dispositions s’appliquent aux factures et aux factures modifiées (notes de crédit et de débit)
Le mandat s’applique uniquement aux opérations nationales, excluant de fait les opérations transfrontalières
Dates de déploiement du mandat
Janvier 2011 : toutes les entreprises coréennes sont tenues d’émettre des factures TVA électroniques et de les déclarer le jour suivant leur émission
Janvier 2012 : en plus de la première catégorie, les entreprises individuelles dont le chiffre d’affaires est supérieur ou égal à 1 milliard de wons sud-coréens doivent émettre des factures électroniques e-Tax
Juillet 2014 : le seuil passe de 1 milliard de wons sud-coréens à 300 millions de wons sud-coréens
Juillet 2019 : la partie des revenus exonérée d’impôts doit désormais être prise en compte dans le calcul du seuil de 300 millions de wons sud-coréens
Juillet 2022 : le seuil passera de 300 millions de wons sud-coréens à 200 millions de wons sud-coréens
Juillet 2023 : le seuil passera de 200 millions de wons sud-coréens à 100 millions de wons sud-coréens
Pénalités
Les pénalités varient entre 0,3 et 1 % du prix de gros, en fonction du type d’erreur (non-émission, formulaire d’émission, émission tardive, non-transmission, transmission en retard, etc.).
INFOGRAPHIE
Exigences CTC en Corée du Sud
Tout comprendre sur le contrôle continu des transactions en Corée du Sud, notamment les dates limites de conformité et la façon dont Sovos peut vous aider.
Oui, la facturation électronique est obligatoire en Corée du Sud pour toutes les entreprises et pour certaines personnes physiques dont le chiffre d’affaires dépasse un certain montant.
La TVA est perçue sur toutes les livraisons de biens et prestations de services. Il existe quelques exemptions ainsi que des livraisons de biens et des prestations de services détaxées.
Alors que les pays du monde entier dématérialisent leurs systèmes fiscaux pour lutter contre la fraude à la TVA, nos experts surveillent, interprètent et codifient continuellement ces changements dans notre logiciel, facilitant ainsi les démarches en matière de conformité pour vos équipes fiscales et informatiques.
Découvrez comment la solution Sovos permet de faire faire à toutes les exigences relatives à la facturation électronique et à la TVA en Corée du Sud.
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La facturation électronique ayant envahi le monde, notamment l’Amérique latine et l’Europe, vous avez dû vous adapter à de nouveaux mandats couvrant, dans un premier temps, les transactions B2G, puis B2B. Une troisième vague arrive désormais avec les mandats B2C associés aux reçus électroniques.
Grâce à ces derniers, tous les achats de vos clients sont répertoriés dans un portail accessible aux consommateurs et à l’administration fiscale locale. Les pouvoirs publics veillent ainsi à ce que les montants imposés et payés soient les bons. Même si les reçus électroniques représentent un nouveau mandat fiscal international, la numérisation de la fiscalité dans le monde B2C offre également la possibilité d’avancer vers des pratiques professionnelles efficaces, moins coûteuses, écologiques, voire sources de plus de valeur pour vos clients.
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Protégez-vous contre les audits non planifiés
Archivage universel et conforme des factures électroniques pour plus de 60+ pays
Les administrations fiscales du monde entier dépensent des milliards en systèmes de contrôle des factures, ce qui vous pousse à mettre en œuvre des solutions de conformité des factures électroniques de manière cohérente, évolutive et rentable. Tout cela commence par un logiciel d’archivage électronique.
Les règles de facturation électronique varient d’un pays à l’autre, mais le dénominateur commun est presque partout l’obligation d’archiver la facture «originale».
Sovos eArchive fournit un système d’archivage universel et conforme des factures électroniques pour plus de 60+ pays, y compris une cartographie de la conformité, des paramétrages de conservation, des horodatages et des procédures de signature et de validation. Les fonctions post-audit vous protègent contre les audits non planifiés et sont automatiquement mises à jour avec les exigences de conformité locales suivies par les experts Sovos.
Sovos eArchive offre :
Une portée mondiale via une API unique dans les pays qui suivent les modèles de type clearance et post-audit
Uneintégration flexible à n’importe quel système ERP, archive de tierce partie, solution P2P ou fonction EDI
Une prise en charge des données personnalisées et obligatoires avec jusqu’à sept pièces jointes, garantissant l’archivage de tous les justificatifs requis, des critères de recherche et autres besoins
La facture originale dans son schéma prescrit par le gouvernement, y compris les formats XML, PDF et autres
Le stockage des pièces jointes connexes telles que des documents PDF, les résultats des audits précédents et les documents joints
Des balises organisationnelles personnalisées, permettant une recherche rapide et d’autres tâches non liées à l’audit, comme les examens juridiques et la recherche comptable
Des solutions de sécurité et de réacheminement spécifiques à chaque pays dans les régions où elles sont nécessaires, par exemple la Hongrie et l’Italie
Une protection contre l’usure normale des sessions d’accès aux archives due à des audits, des récupérations de fichiers et d’autres opérations
Une utilisation et une consultation autorisées des dossiers
Une piste d’audit, avec suivi des personnes qui peuvent accéder à une archive
Le respect des bonnes pratiques du secteur, telles que l’eIDAS, le RGPD, la norme ISAE 3402 Type II et le chiffrement des données au repos ou en mouvement
Une preuve fiscale immédiate avec une source de référence unique lors des audits, ce qui permet de retrouver facilement les factures
Une gestion des changements, avec une solution constamment mise à jour, maintenue et testée sur l’ensemble des territoires couverts
Clients
«Sans un bon logiciel, il serait impossible de s’adapter à l’évolution rapide des obligations de déclaration de TVA. Nous ne serions pas en mesure de respecter ces nouvelles réglementations à temps sans Sovos.»
Making Tax Digital : Tout ce que vous devez savoir
Qu'est-ce que Making Tax Digital ?
Le gouvernement britannique a introduit Making Tax Digital (MTD) dans le but de rendre le dépôt des déclarations de TVA plus facile et plus efficace pour les entreprises. Le règlement impose aux entreprises de tenir des registres numériques et de soumettre leurs déclarations de TVA au moyen d’un logiciel compatible.
Plus de 1,8 million d’entreprises bénéficient déjà de ce service, et plus de 19 millions de déclarations ont été soumises avec succès via des logiciels compatibles avec le Making Tax Digital jusqu’à présent.
Comprendre MTD
Making Tax Digital fait partie des plans du gouvernement britannique visant à réduire les erreurs et à faciliter la gestion des affaires fiscales grâce à l’utilisation d’outils numériques.
Les entreprises doivent déposer numériquement leurs déclarations de TVA en utilisant l’une des solutions logicielles compatibles approuvées par le HMRC qui se connectent à l’API du HMRC. L’utilisation d’un logiciel pour conserver des enregistrements numériques de certains contenus liés à la TVA est obligatoire.
MTD exige que chaque entreprise immatriculée à la TVA enregistre et soumette ses déclarations de TVA de manière électronique en utilisant un « logiciel compatible fonctionnel ».
Les entreprises doivent utiliser un logiciel pour conserver des enregistrements numériques de certains documents en rapport avec la TVA.
Les enregistrements conservés doivent inclure des données de nomination et des données sommaires relatives à la TVA pour la période fiscale.
L’utilisation de plusieurs logiciels est autorisée.
Le format de la déclaration de TVA consiste en un résumé en 9 cases à remplir sur la plateforme API JSON du HMRC et devant être relié numériquement entre les données sources du client et la déclaration numérique à soumettre. Les entreprises reçoivent et envoient des informations au HMRC par l’intermédiaire de l’API.
Chaque entreprise doit créer un nouveau compte fiscal numérique et suivre un nouveau processus d’authentification.
La soumission d’enregistrements numériques peut se faire sous différents formats numériques, dont XML, CSV et Excel, à condition qu’ils soient compatibles avec l’API.
Making Tax Digital (MTD) : Dates de déploiement
1er avril 2019 : lancement de MTD pour la TVA pour les entreprises immatriculées à la TVA au Royaume-Uni, avec un chiffre d’affaires brut annuel supérieur à 85 000 £.
1er octobre 2019 : application de MTD aux entreprises éligibles au report d’impôts.
1er avril 2021 : fin de la période de transition pour les liens numériques. À compter de cette période fiscale, tous les utilisateurs MTD doivent satisfaire aux exigences en matière de liens numériques. Le HMRC pourrait envisager des reports pour les contribuables dont les systèmes existants sont complexes.
1er avril 2022 : le mandat est étendu à toutes les entreprises immatriculées à la TVA britannique, quelle que soit leur taille.
1er novembre 2022 : les entreprises qui déposent des déclarations de TVA ne peuvent plus les soumettre via un compte de TVA en ligne existant, à moins que le HMRC n’ait accepté une exemption de MTD. Les entreprises qui déposent des déclarations de TVA annuelles pourront encore utiliser leur compte de TVA en ligne jusqu’au 15 mai 2023.
Janvier 2023 : toutes les entreprises immatriculées à la TVA qui ne s’inscrivent pas à MTD et ne soumettent pas de déclarations via un logiciel compatible MTD seront soumises à une surtaxe ou à une pénalité de retard et à des intérêts.
Pénalités pour non-respect de Making Tax Digital (MTD)
Une surtaxe pour défaut allant jusqu’à 15 % pour tout paiement tardif de la TVA due.
Jusqu’à 100 % de la TVA sous ou surévaluée si une déclaration de TVA contient une erreur fortuite ou délibérée.
Jusqu’à 30 % de la TVA due en cas d’imposition sous-estimée, si le HMRC n’est pas informé dans les 30 jours qu’une erreur a été commise.
400 £ pour l’envoi d’une déclaration de TVA papier si le contribuable ne bénéficie pas d’une exemption.
Making Tax Digital pour la TVA
Making Tax Digital concerne toutes les entreprises immatriculées à la TVA au Royaume-Uni. La soumission électronique des déclarations de TVA, la tenue de registres numériques et les liens numériques sont autant d’exigences de cette réglementation.
Exigences en matière de liens numériques
L’une des exigences de MTD est celle des « liens numériques », c’est-à-dire l’échange électronique de données entre des programmes, des produits ou des applications sans intervention manuelle.
Un lien numérique est nécessaire lorsqu’une entreprise utilise plusieurs logiciels pour stocker et transmettre ses registres et déclarations de TVA conformément aux exigences de MTD.
Un lien numérique peut être :
Une importation et exportation de fichiers XML et CSV, un téléchargement et chargement de fichiers.
Un transfert automatisé de données.
Un transfert API.
Transfert de données et importation ultérieure de données dans un logiciel au moyen d’un courrier électronique ou d’un support numérique tangible (c’est-à-dire une clé USB).
Making Tax Digital pour l’impôt sur les sociétés
MTD ne s’applique pas pour l’instant à l’impôt sur les sociétés, mais le HMRC a publié les résultats de sa consultation et il est prévu de mettre en place un programme pilote. Un mandat potentiel est probable en 2026. Mettez en signet cet article en direct sur les mises à jour de MTD ou suivez-nous sur LinkedIn pour rester informé.
Comment configurer Making Tax Digital avec Sovos
Sovos peut vous aider avec la MTD de deux manières :
Vous pouvez utiliser le logiciel Sovos Advanced Periodic Reporting pour rationaliser votre charge de travail en matière de conformité à l’aide d’une solution unique, ou bien
Vous pouvez utiliser le portail des services de conformité de Sovos pour accéder à des services d’experts en matière de conformité à la TVA et avoir une visibilité complète sur la manière dont chaque obligation est gérée à chaque étape.
FAQ
Puis-je utiliser Excel pour Making Tax Digital ?
Excel est un format numérique approuvé permettant de soumettre des enregistrements numériques dans le cadre de Making Tax Digital, à condition que le fichier soit activé par API ou que la feuille de calcul soit numérique. L’utilisation d’Excel peut s’avérer inefficace et sujette aux erreurs par rapport à d’autres options logicielles d’enregistrement numérique.
Comment configurer MTD ?
La mise en place de Making Tax Digital pour votre entreprise se fait en quelques étapes :
Vérifiez les autorisations dans le logiciel. Le dépôt des déclarations de TVA est facile une fois qu’une entreprise l’a configuré avec Making Tax Digital.
Conservez des enregistrements numériques pour les déclarations de TVA actuelles et futures. Une entreprise peut trouver ici quels documents doivent être conservés.
Inscrivez-vous à Making Tax Digital et déposez vos futures déclarations de TVA à l’aide d’un logiciel compatible MTD. La solution Advanced Periodic Reporting de Sovos rationalise les obligations de déclaration périodique, y compris MTD et d’autres exigences mondiales en matière de déclaration de TVA et SAF-T.
Qui doit s’inscrire à Making Tax Digital ?
Toutes les entreprises immatriculées à la TVA au Royaume-Uni doivent s’inscrire à Making Tax Digital. Les nouvelles entreprises seront automatiquement inscrites à MTD lors de leur inscription à la TVA via le nouveau service d’immatriculation à la TVA (VRS) du HMRC.
Quelle est la limite pour Making Tax Digital ?
Depuis avril 2022, Making Tax Digital est obligatoire pour toutes les entreprises immatriculées à la TVA, quel que soit leur chiffre d’affaires annuel.
Les commerçants indépendants doivent-ils numériser leur fiscalité ?
Si un commerçant indépendant détient une entreprise immatriculée à la TVA, il devra se conformer aux exigences de Making Tax Digital. Au Royaume-Uni, les entreprises dont le chiffre d’affaires annuel est inférieur à 85 000 livres sterling peuvent choisir de s’immatriculer à la TVA, mais ce n’est pas obligatoire.
Espagne: Déclaration en temps réel des transactions locales
Espagne – SII
L’Espagne est l’une des premières nations de l’UE à adopter la méthode de contrôle continu des transactions (CTC), avec l’introduction d’une déclaration obligatoire des données de facturation en temps quasi réel en 2017. À travers cette disposition, l’administration fiscale espagnole, l’AEAT, vise à rationaliser les remboursements, à fournir aux contribuables des données précises au sujet des déclarations, à mener des audits plus efficaces et à lutter contre la fraude à la TVA.
Les personnes imposables concernées doivent transmettre leurs données de facturation à l’administration fiscale sur une plateforme appelée Suministro Inmediato de Información (SII) dans les quatre jours ouvrables suivant la date d’émission.
En 2020, l’administration fiscale a annoncé une nouvelle version de la plateforme SII qui comprend un registre comptable des opérations liées à la vente de marchandises en consignation. Celle-ci est entrée en vigueur le 1er janvier 2021.
Recevoir des informations complémentaires
Synopsis sur le mandat
Le mandat espagnol s’applique aux entreprises dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à 6 millions d’euros, aux entreprises faisant partie de groupes TVA et aux entreprises utilisant le système REDEME.
Les éléments suivants doivent être envoyés à l’administration fiscale :
Registre des factures émises
Registre des factures reçues
Registre des biens d’investissement
Registre de certaines opérations intracommunautaires
Les informations doivent être transmises au moyen de services web permettant l’échange de messages XML.
Certaines obligations formelles sont réduites puisque les contribuables ne seront plus tenus de déposer le formulaire de déclaration d’informations 347 (informations sur les tiers), 340 (transactions dans les registres) et 390 (résumé annuel de la TVA).
En 2020, l’administration fiscale espagnole a introduit un service de préremplissage de la déclaration périodique de TVA (Modelo 303) à l’aide des informations fournies par les contribuables sur la plateforme SII.
Dates de déploiement du mandat
2 janvier 2017 : la transmission immédiate d’informations débute sur la base du volontariat pour les contribuables en Espagne.
1er juillet 2017 : phase obligatoire de transmission immédiate d’informations pour les contribuables concernés par le mandat.
1er janvier 2018 : le délai pour fournir les informations passe de 8 à 4 jours. Le mandat est également étendu à d’autres territoires espagnols (provinces basques et îles Canaries).
1er janvier 2020 : introduction d’un registre comptable des opérations liées à la vente de marchandises en consignation.
Pénalités
Les omissions ou les inexactitudes dans les déclarations d’informations peuvent donner lieu à une pénalité pouvant atteindre 1 % du montant total manquant, avec un plafond de 6 000 €.
Les déclarations de TVA en retard entraînent une pénalité de 0,5 % du montant total déclaré, avec un minimum de 300 € et un maximum de 6 000 € par trimestre.
Les erreurs ou omissions dans le registre de certaines opérations intracommunautaires et celui des biens d’investissement sont sanctionnées par une amende fixe de 150 €.
Sovos aide les entreprises à se conformer à la plateforme SII espagnole
Les solutions Sovos vous aident à respecter toutes les réglementations en matière de TVA en Espagne et dans le reste du monde.
Sovos prend en charge la plateforme SII (Suministro Inmediato de Información), ce qui garantit la conformité de nos clients vis-à-vis du cadre juridique et technique mis au point par l’administration fiscale espagnole (AEAT).
Les experts Sovos contrôlent, interprètent et codifient en continu ces changements dans notre logiciel, afin de vous aider à réduire la charge administrative de vos équipes informatiques et fiscales.
Post-Brexit: Plan d'action TVA pour les entreprises
L'heure du Brexit a sonné
Les entreprises du Royaume-Uni et de l’UE doivent relever le défi de la conformité à la TVA que pose le Brexit. Plus que jamais, il est temps de revoir les chaînes d’approvisionnement et les registres de TVA pour commercer avec les États membres de l’UE. La période de transition a pris fin le 1er janvier 2021 et, par conséquent, le commerce entre le Royaume-Uni et l’UE est désormais régi par l’accord de libre-échange annoncé la veille de Noël 2020.
Alors que de nombreuses entreprises se sont préparées à l’impact du Brexit sur les douanes, beaucoup doivent encore formuler une stratégie pour assurer la conformité à la TVA. C’est la clé du succès de tout plan d’action du Brexit pour la protection des chaînes d’approvisionnement, permettant aux entreprises de continuer à commercer en toute confiance à travers l’Europe.
Toutes les informations dont vous avez besoin
Derniers changements
Les maquiladoras, ces usines américaines opérant à la frontière mexicaine, doivent maintenant indiquer des informations supplémentaires (Complemento de leyendas) lors de l'importation virtuelle des composants de leurs produits (par exemple, les pneus d'une voiture ou le sucre contenu dans un soda).
Le processus d'annulation d'un CFDI (ou facture électronique) a été modifié en novembre 2018 pour obliger les fournisseurs à soumettre une demande d'annulation au lieu de créer des notes de crédit afin d'annuler une facture ou un CFDI. L'acheteur est quant à lui obligé d'accepter ou de refuser la demande dans les 72 heures.
Le système fréquemment utilisé du supplément, qui s'applique à tous les paiements partiels ou complets reçus après l'émission d'un CFDI, est également entré en vigueur en septembre 2018.
L’ALE n’a pas d’incidence sur les obligations en matière de TVA, mais sur les taux de droits, les tarifs, etc.
Le concept d’envois et d’acquisitions sera remplacé par celui d’exportations et d’importations pour les échanges entre la Grande-Bretagne et l’UE, puisque la Grande-Bretagne est désormais considérée comme un pays tiers.
Des règles spéciales s’appliquent au commerce entre la NI et l’UE
Des règles spéciales s’appliquent également aux marchandises circulant entre la Grande-Bretagne et l’Irlande du Nord
S’il n’existe aucun mécanisme de report ou d’ajournement, la TVA sur les importations devient un coût initial pour les entreprises
Les entreprises britanniques qui s’immatriculent dans un État membre de l’UE pourraient avoir besoin d’une représentation fiscale
Quels sont les changements apportés par le Brexit ?
Les exportations et les importations remplacent respectivement les expéditions et les acquisitions
Augmentation potentielle de l’obligation d’enregistrement dans les États membres de l’UE
Probabilité accrue d’avoir besoin d’une représentation fiscale
La récupération de la TVA s’effectue par le biais de systèmes papier
La réciprocité peut bloquer les remboursements de la TVA entrant dans le cadre de la 13e Directive
La TVA après le Brexit : Que faut-il faire ?
Bien qu’il existe un accord de libre-échange, de nombreux problèmes demeurent non résolus. Les entreprises doivent donc s’assurer qu’elles:
Identifier toutes les chaînes d’approvisionnement affectées par le Brexit
Accorder une attention particulière aux contrats dont les incoterms sont de type « rendu droits acquittés » (Delivered Duty Paid, DDP)
Déterminer si les entreprises doivent encore détenir un enregistrement de TVA dans l’UE Déterminer s’il existe de nouvelles exigences en matière d’enregistrement de TVA
Étudier les exigences des douanes, telles que les numéros EORI au Royaume-Uni et dans l’UE
Anticiper les changements de réglementations en matière de déclaration de TVA
Modifier les systèmes ERP selon les besoins
Déterminer si une représentation fiscale est nécessaire
Réduire l'impact du Brexit
Vous avez besoin d'aide pour assurer la continuité des activités de votre entreprise ?
Les entreprises situées des deux côtés de la Manche ont beaucoup à faire pour se préparer. Nous savons que l’incertitude générée par le Brexit est difficile à gérer, les entreprises doivent donc être prêtes.
Pendant cette confusion, nous pouvons apporter des éclaircissements sur l’impact du Brexit sur vos obligations en matière de conformité à la TVA.
Paquet TVA 2021: e-Commerce et guichet unique de l'UE
Simplifier le commerce B2C transfrontalier au sein de l'UE
À compter du 1er juillet 2021, l’UE mettra en place son paquet TVA sur le commerce électronique. Le paquet remplacera les règles de vente à distance existantes et transformera le mini-guichet unique (MOSS) en un guichet unique (OSS) plus étendu.
Il s’agit d’un changement important des règles de TVA pour les livraisons de biens et de services B2C, qu’il s’agisse d’importations vers l’UE ou d’échanges intra-UE. Le nouveau seuil paneuropéen de 10 000 euros (0 euro pour les entreprises établies en dehors de l’UE), nettement inférieur, aura un impact sur la plupart des entreprises, qui devront comptabiliser la TVA sur un plus grand nombre de prestations.
Toutes les informations dont vous avez besoin
Qu'est-ce que le paquet TVA 2021 de l'UE pour le commerce électronique ?
Par rapport à l’obligation de s’enregistrer plusieurs fois à la TVA en vertu des règles de vente à distance en vigueur depuis longtemps, avec la simplification du système OSS, les entreprises peuvent être en mesure de s’enregistrer dans un seul État membre et de déclarer toutes les transactions de l’UE au moyen d’une seule déclaration OSS déposée périodiquement. Les paiements sont collectés et distribués par l’autorité fiscale de cet État membre aux autres États membres où la TVA est due.
En résumé
Si une entreprise décide de recourir à la simplification des OSS, elle doit l’appliquer à toutes les transactions admissibles.
Des registres supplémentaires sont exigés pour les OSS : Les entreprises qui utilisent l’un des systèmes de déclaration OSS doivent conserver des registres plus détaillés des transactions qu’auparavant. Ces données supplémentaires peuvent être demandées par les autorités fiscales et utilisées lors d’audits pour vérifier que la TVA a été appliquée de manière appropriée.
Dans le cadre des régimes OSS UE et non-UE, les déclarations sont trimestrielles. La date limite de dépôt sera déplacée au dernier jour du mois suivant la période de déclaration. Les déclarations auprès du guichet unique à l’importation (IOSS) sont mensuelles.
Les entreprises peuvent corriger de précédentes déclarations OSS lors de la déclaration suivante, au lieu de corriger la déclaration OSS initialement transmise.
Les entreprises établies dans l’UE peuvent uniquement s’inscrire à l’OSS dans leur État membre.
Les entreprises hors UE peuvent avoir besoin de désigner un intermédiaire et d’obtenir une immatriculation TVA IOSS dans le pays de l’intermédiaire au sein de l’UE.
Les enregistrements OSS hors Union peuvent se faire dans n’importe quel État membre choisi, bien que cela puisse être dicté par la localisation d’un intermédiaire choisi, si nécessaire. Si vous êtes déjà enregistré sous MOSS, l’enregistrement existant se poursuivra.
En fonction de la nature de l’activité commerciale/des chaînes d’approvisionnement, les détaillants non européens peuvent avoir besoin de faire des déclarations dans le cadre des trois régimes. Ils auront également besoin d’au moins une immatriculation à la TVA "standard", voire davantage en raison de l’existence d’entrepôts ou d’éléments similaires.
Les entreprises de l’UE peuvent être amenées à déposer des déclarations dans le cadre de l’OSS et de l’IOSS ainsi que des déclarations locales.
Pénalités
Le fait de ne pas soumettre les déclarations et d’effectuer les paiements ou de ne pas notifier à temps à l’autorité fiscale compétente un changement important dans la chaîne d’approvisionnement (par exemple, un entrepôt) peut entraîner des sanctions. Celles-ci peuvent être imposées dans chaque État membre où la TVA est due, voire l’expulsion du régime. Par conséquent, la pénalisation d’une seule déclaration tardive dans plusieurs pays crée une exposition importante aux pénalités.
La non-conformité répétée peut entraîner l’exclusion des régimes OSS. Le contribuable doit alors s’inscrire au registre de la TVA dans tous les États membres où il est assujetti à la TVA.
En cas d’exclusion du régime, la période d’exclusion de deux ans pourrait avoir de lourdes conséquences commerciales, car les coûts de conformité sont susceptibles d’augmenter et que de nouveaux numéros de TVA seront rapidement exigés.
L’exclusion de l’IOSS peut obliger l’entreprise à modifier ses accords commerciaux avec ses clients, ce qui pourrait avoir un impact significatif sur les ventes ou augmenter les coûts de mise en conformité.
Comment Sovos aide les entreprises à s'orienter dans les nouvelles exigences du paquet OSS de la TVA sur le commerce électronique de l'UE.
La mise en œuvre des changements nécessaires pour se conformer au paquet TVA sur le commerce électronique de l’UE et l’intégrer à votre système ERP peut prendre beaucoup de temps et de ressources. Sovos peut vous aider à alléger votre fardeau fiscal, à identifier la bonne solution pour votre entreprise et à vous y préparer.
Notre grande équipe de conseillers peut vous aider à évoluer dans l’univers complexe de la conformité à la TVA moderne.
Contactez-nous pour découvrir comment nous pouvons aider votre entreprise à se préparer à la fiscalité numérique de demain.
Comment fonctionne la comptabilisation différée de la TVA ?
Depuis le Brexit, le Royaume-Uni a modifié la manière dont la TVA à l’importation est comptabilisée. Avant janvier 2021, vous deviez payer ou reporter la TVA à l’importation au moment où les marchandises entraient au Royaume-Uni. En raison des volumes d’échanges entre le Royaume-Uni et l’UE, le gouvernement a naturellement changé cela. Désormais, plutôt que de devoir payer la TVA à l’importation, vous pouvez choisir de la reporter sur la déclaration de TVA. En pratique, cela signifie qu’elle est payée et récupérée sur la même déclaration de TVA. Il s’agit d’un avantage considérable en termes de trésorerie. C’est une pratique courante dans de nombreux États membres de l’UE et elle était autorisée au Royaume-Uni il y a de nombreuses années. Le Royaume-Uni l’a réintroduit depuis le début de cette année.
Il n’est pas nécessaire d’être agréé pour utiliser la comptabilité TVA différée mais le choix de l’utiliser doit être fait au moment de remplir chaque déclaration douanière. Cela ne se fait pas automatiquement et la réalité est que les entreprises peuvent choisir de l’utiliser ou non. La TVA à l’importation est ensuite comptabilisée dans la case 1 de la déclaration de TVA britannique, puis récupérée dans la case 4. Si vous êtes une entreprise entièrement imposable et que la TVA est récupérable, cela signifie qu’il n’est pas nécessaire de payer la TVA à l’importation. L’utilisation de la comptabilité TVA différée n’entraîne aucun coût. L’entreprise devra télécharger un relevé mensuel auprès du service des déclarations douanières. Ce relevé indique le montant de la TVA reportée.
Des mécanismes de comptabilisation de la TVA à l’importation sont également en place dans l’UE, mais ils varient d’un pays à l’autre. Si vous êtes une entreprise britannique et que vous allez être l’importateur des marchandises dans l’UE, vous avez la possibilité d’utiliser la comptabilité différée dans certains autres pays, mais les règles d’application peuvent varier. Dans certains pays, c’est comme au Royaume-Uni, aucune autorisation n’est nécessaire.
Dans d’autres cas, vous devrez faire une demande et remplir les conditions en vigueur. S’il n’est pas possible de reporter la comptabilisation de la TVA, il peut être possible de reporter la TVA à l’importation, ce qui peut toujours constituer un avantage en termes de trésorerie. Il est vraiment important que les entreprises comprennent comment cela fonctionne dans l’État membre d’importation, et si elles peuvent en bénéficier, car cela peut avoir un impact important sur la trésorerie. C’est une bonne nouvelle que le site du Royaume-Uni ait réintroduit la comptabilité de la TVA reportée , car il s’agit certainement d’un avantage qui s’applique à toutes les importations, et pas seulement à celles qui proviennent de l’UE.
J’expédie mes propres marchandises à un prestataire logistique tiers aux Pays-Bas. Les marchandises seront expédiées à des clients dans toute l’UE. Comment dois-je évaluer les marchandises à des fins douanières puisqu’elles restent ma propriété ?
Comme elles ne sont pas d’origine britannique, des droits de douane peuvent s’appliquer.
Cette question revient souvent car l’évaluation en douane, comme le principe d’origine, ne se pose plus depuis de nombreuses années pour les entreprises britanniques qui ne commercent qu’avec l’UE.
Les règles relatives à l’évaluation en douane sont complexes. Dans ce scénario, il n’y a pas de vente de la marchandise. Il n’est donc pas possible d’utiliser la valeur transactionnelle qui est la méthode d’évaluation par défaut. Comme les droits de douane ne sont pas récupérables, il est essentiel d’utiliser la bonne méthode d’évaluation. Cela permet de minimiser le montant des droits payés et d’éliminer la possibilité que l’évaluation soit contestée par les autorités douanières et la TVA. Nous vous recommandons de demander l’avis d’un spécialiste.
Si je vends des produits B2C à des clients de l’UE, dois-je m’inscrire au registre de la TVA dans chaque État membre ?
Il convient de noter que ces règles s’appliquent aux ventes de la Grande-Bretagne à l’UE et non à celles de l’Irlande du Nord. En effet, le protocole de l’Irlande du Nord traite les ventes de l’Irlande du Nord vers l’UE selon les règles de l’UE. Les règles relatives à la vente à distance qui étaient en vigueur avant la fin de 2020 restent applicables.
Pour l’avenir, l’UE a reconnu que ce système n’était pas vraiment gérable. Des abus importants ont été constatés en matière d’exonération des envois de faible valeur. La LCVR exonère de TVA les importations d’un montant maximal de 22 euros. L’UE a donc introduit un nouveau concept appelé Import One Stop Shop (IOSS). L’IOSS sera disponible à partir du 1er juillet 2021 dans le cadre du paquet TVA sur le commerce électronique de l’UE. À partir de ce moment, le principe est que pour les biens dont la valeur intrinsèque est inférieure à 15 €, vous pouvez utiliser l’IOSS. L’IOSS comptabilise la TVA dans tous les pays vers lesquels vous livrez. Vous n’avez besoin que d’un enregistrement TVA dans un seul pays où vous payez ensuite toute votre TVA. Vous soumettez une seule déclaration dans ce pays, sur une base mensuelle. Cela devrait simplifier le respect de la TVA et alléger la charge administrative.
Il y aura également un guichet unique (OSS) pour les transactions intracommunautaires . Il y a donc des simplifications à venir destinées à réduire la charge des entreprises. L’important est de s’assurer que vous examinez vos options. Prenez une décision éclairée quant au régime qui convient à votre entreprise. Assurez-vous de pouvoir respecter les obligations en matière de TVA afin d’éviter les problèmes de conformité à la TVA à l’avenir.
Les rapports JPK_V7M/V7K – la tentative de la Pologne de fusionner le rapport sommaire d’une déclaration de TVA avec les informations détaillées d’un FEC – sont en vigueur depuis octobre 2020. Les contribuables doivent soumettre ces rapports (V7M pour les déclarants mensuels, V7K pour les déclarants trimestriels) à la place de la déclaration de TVA et des fichiers JPK_VAT précédemment utilisés.
Les rapports JPK_V7M/V7K demandent aux contribuables de désigner dans chaque fichier les factures soumises à un traitement spécial de la TVA. Il s’agit par exemple des factures représentant des transferts entre parties liées ou des factures relatives à des transactions soumises au régime de paiement fractionné de la Pologne.
Les désignations de paiement fractionné sont particulièrement complexes à gérer pour les contribuables. Le régime polonais de paiement fractionné est largement applicable. Dans certains cas, il peut être exercé au choix de l’acheteur. Il est donc difficile pour les vendeurs de prévoir lesquelles de leurs factures doivent être marquées.
En raison de ces complexités, et en réponse aux commentaires des contribuables, le projet de modification pour le 1er juillet supprimerait la désignation de paiement fractionné. Cela réduirait considérablement la charge administrative des contribuables.
Le projet de modification entraîne toutefois une complexité supplémentaire dans la déclaration des créances irrécouvrables. Selon les règles modifiées, les contribuables doivent indiquer la date d’échéance initiale du paiement d’une facture impayée. Pour laquelle le contribuable demande un allégement de la TVA. Cette mesure vise à aider l’administration fiscale à vérifier les demandes d’allégement de créances irrécouvrables. Cela pourrait présenter des difficultés pour les contribuables qui ne conservent pas ces informations ou ne peuvent pas y accéder facilement dans leurs systèmes comptables.
Les déclarations polonaises JPK_V7M/V7K ont une portée extrêmement ambitieuse. Il ressort clairement de ces dernières propositions que l’administration fiscale est disposée à apporter des ajustements substantiels à la structure de ces déclarations, dans un délai très court. Dans un paysage aussi dynamique, il est essentiel que les entreprises restent à l’affût des évolutions réglementaires afin de rester en conformité.
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L’Advanced Periodic Reporting (APR) de Sovos est une solution cloud qui diminue les risques et les coûts de la conformité, assure la pérennité et rationalise la gestion des obligations de reporting périodique des clients en utilisant les données pour fournir des informations qui améliorent les performances. La solution automatise, centralise et standardise la préparation, le rapprochement, la modification et la validation des rapports de synthèse pour les autorités fiscales dans les juridictions TVA du monde entier.
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La TVA est l’un des impôts indirects qui connaît la croissance la plus rapide et qui évolue constamment. C’est une taxe à la consommation historique dont la popularité ne cesse de croître. Alors que les gouvernements deviennent plus audacieux avec l’introduction de changements structurels dans la façon dont ils réglementent et appliquent la déclaration de la TVA, il peut être difficile de se conformer aux règles de TVA à la fois en constante évolution et fragmentées.
Les entreprises ayant des obligations de rapports de TVA dans plusieurs juridictions sont confrontées à un cycle continu qui exige que les données soient extraites, traitées, rapprochées, résumées et validées pour respecter un flux constant de délais.
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